Nous évoluons vers un monde numérique. Euh, non, laissez-moi recommencer. Nous vivons dans un monde numérique. Et les choses autour de nous ne feront que devenir plus numériques. Nos smartphones deviennent de plus en plus le centre de nos vies. Nous passons des appels téléphoniques, envoyons des SMS, des FB, regardons des films, achetons des choses, proposons des vacances, réservons des taxis et des chambres d'hôtel. Nous gérons nos finances, suivons et partageons nos activités sportives, nous naviguons n'importe où, nous laissons un sentier ou où nous étions ... tous avec un seul appareil.
Que nous le réalisions ou non, cet appareil qui nous convient parfaitement est soutenu par un immense réseau en constante expansion d’applications, de serveurs, de connexions et d’infrastructures. Choses qui doivent être continuellement développées et maintenues. Pour ce faire, il faut des gens. Et c'est là que nous avons un problème en Belgique. Notre main-d'œuvre ne croît pas assez vite et n'est pas recyclée assez vite. Nous avons encore des gens assis dans un emploi. Si nous n'agissons pas maintenant et que nous mobilisons notre personnel plus rapidement, nous ne serons pas en mesure de suivre le rythme du numérique. Cependant, je suppose que la Belgique n’est pas le seul pays à lutter pour pourvoir à tous les postes vacants.
Selon Agoria (l'organisation faîtière de toutes les entreprises technologiques belges), plus d'emplois apparaissent que disparaissent (+0,9% par an) alors que la population active ne croît que lentement (+0,3% par an). De plus, la numérisation modifie le contenu ou chaque travail; pour certains limités, pour d'autres assez radicaux. Si nous n'agissons pas, la numérisation et la dynamique économique généreront plus d'un demi-million de postes vacants d'ici 2030, rien qu'en Belgique.
Les emplois d'expert nécessitent des experts. Gardez les gens dans leur objectif, ils seront plus performants et seront plus engagés. Les gens supposent parfois que l'hébergement de centres de données est un travail informatique. Ce n’est pas, c’est un ingénieur. La construction et la maintenance de centres de données requièrent des connaissances approfondies en énergie électrique et en circuits, moteurs / générateurs, refroidissement et chauffage, architecture, sécurité, efficacité énergétique ... Pourquoi voudriez-vous donc former un informaticien au métier d'ingénieur? C'est un ensemble de compétences complètement différent. Quoi qu'il en soit, vous pouvez utiliser cette personne informatique pour vous concentrer sur des projets informatiques. C'est ce que vous avez engagé pour lui en premier lieu.
Et pourquoi voudriez-vous le faire vous-même en interne? Outre les compétences requises, un centre de données dont le temps de disponibilité est supérieur ou égal à 99,9% nécessite une infrastructure de pointe, ce qui en soi représente un investissement considérable. Nous avons déjà fait cet investissement, alors pourquoi ne pas externaliser le vôtre et bénéficier des économies d’échelle? De cette façon, vous pourrez également économiser de l'espace de bureau, dont vous aurez besoin pour votre futur personnel.
Be The Change - Construire l'avenir du travail est une campagne d'Agoria. Souhaitez-vous savoir de quelle manière notre personnel - et vous-même - sera touché par la numérisation de nos vies? Serez-vous le changement? Ensuite, visitez la page d'accueil de Be The Change.